Bienvenue chers visiteurs

Bonjour tous et toutes.

Ici vous retrouverez mes écrits, que ce soi mes poèmes, proses, réflexions, citations ou même mes philosophies ; Aussi des articles & pages sur différents sujets. Vous entrez dans mon monde, aussi périlleux soi t-il ! J’espère que vous allez vous plaire à lire, comme je me plais à les écrire.

Bonne lecture !!
Amicalement, Jack Asmo

Petite phrase de novembre

« C’est dans la connerie, oui, que j’y ai trop souvent vu la répétition de l’humain ». Jack Asmo

Je reviens tranquillement en ce décembre cher(e)s lecteur(e)s. Deux ans et demi sans pouvoir partager mon travail, ce fût long, il y a beaucoup de boulot à faire, mais avant, il y a des histoires plus importantes à raconter et des murs à effondrer.

Songe

Plus j’y pense, non la faute à ma dépression, mais bien à un éclat de la tyrannie suffocante.

Tant que je serais un, il y aura à jamais un humain, derrière ce miroir.

Tant que je suis un, il y a la possibilité d’être deux, quatre et des milliards.

Tant que je suis un, je suis, vous êtes et nous sommes écartèlement.

Vous vivez présentement ce que j’ai vécu, presque dix années. Vous verrez, plus l’isolement perdure, plus l’esprit se rompt, en dehors de toute réparation. Certain d’entre vous, n’êtes-pas seul.

J’en suis ressortie, physiquement, mais mon âme, elle s’est tuée, là-bas, morte dans l’indifférence totale. Forcé de reconnaître, que ce monde, là-dehors, je n’en veux-pas vraiment, je n’en veux plus.

Il me faut redevenir zéro, pour empêcher la démultiplication de l’humanité.

Il est bien impossible, malheureusement, de transitionner d’espèce.

Le plus grande affirmation qui soi : je ne participerais-plus à votre connerie, reflet !

Jack Asmo Tous Droits Réservés 

Nous devons mourir !

La vie est devenue d’une tristesse inquantifiable.

Je ne vois-plus, tout est sombre, ma ville s’éteint, se meurt un peuple. Enfermé, cloîtré comme des nones. L’agressivité, la peur et la solitude augmente, les esprits se rompent, tout s’éclate. Demain ce ne sera guère beau, pour les délaissés, d’un monde, d’une histoire.

Et si c’était très bien ?

Pour que la planète et même, que l’univers survive, l’humain doit périr, c’est ainsi. Tuer l’humanité, c’est aussi ça, défendre la vie ; celle-ci ne s’arrêtant-pas au nombrilisme de l’espèce, ayant souvent cru que sa raison lui donnait plus de valeur, plus d’illogismes oui, d’importance, non ; là dehors, d’autres vivent et tentent de résister aux assaults quotidien. Ils se reposent un peu.

Acceptons notre sort.

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De tout ce que j’ai été, de tout ce que j’aurais pu et dû, il en sera toujours des questionnements. Il n’y avait-pas de vérité dans ce tourment, dans ces peut-êtres, de la douleur avec des accalmies passagères.

Parce que dans la vie il y avait plus qui nous animait, que les voies classiques. La destruction, nous tendait aussi les bras et je voulais comprendre ce que j’étais. Il faut laisser les gens comme moi se déchirés, c’est ainsi que nous créons le mieux. Malheureusement, je ne pouvais-pas que me détruire seul, il me fallait vous forcer à repenser votre monde.

Nous n’avons jamais été destiner à marcher de concert, mais plutôt l’un contre l’autre et c’est aussi très bien, car il y avait plus dans ce monde que ce qu’individuellement nous percevons. D’autant que je ne comprends toujours-pas en quoi les marginaux devraient incessamment avoir tord. Nous avons droit à notre façon de voir les choses et de l’exprimer.

Je suis conscient de tout ce que je perds et j’y vais pareil, car au final, nous mourrons tous et je ne laisse rien de valeur. Voyez bien, que ce fut prémédité et longuement réfléchi. Il n’y a pas de surprise.

Erratum

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Fragmenté, en roue libre. Des actions de plus en plus de destruction, je me tue moyen terme, de plus en plus la pensée vers le court. J’ignore les autres, j’instaure tout ce qui me traverse l’esprit, je n’en suis même-pas gêné. La retenu s’en est allé.

Si mes geste ne viennent-pas vous surprendre, alors, j’aurais gagné. C’est que vous aurez fini par comprendre que je n’étais-pas un homme, mais bien une bête. Aussi sympathique et charmante soi-t-elle.

Hier j’ai pris trois pullules pour dormir et me suis injecté deux seringues pleines de testostérone. Car j’en ai plus rien à faire. C’était un impossible rêve. La charge monétaire est trop écrasante. Ce n’est-pas fini. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !

J’arrive-plus à respirer, dans tous les sens du terme. Je n’arrive-plus à voir, ni à réfléchir. J’ai des envies de décapiter les vétérinaires, les banquiers, les salauds. Je vais vraiment mal, dans une société idéale, rendu à ce point là je devrais avoir tous les services, car je représente un risque élevé pour moi et pour les autres.

Nous ne sommes-pas dans ce genre de société, qui en a quoique se soi à faire de chacun de nous. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh !

(Pas corrigé, juste envie de jeter quelque part)

Jack Asmo Tous Droits Réservés